4. Bien-être des animaux
Le monde des zoos doit faire face à beaucoup de problèmes par rapport au bien-être des animaux sauvages en captivité.
L’ennui et le stress demande un concept d’enrichissement du milieu. Il s’agit d’améliorer l’environnement physique, social et psychologique des animaux. Dans cette optique, une politique actuelle tend à réaliser des enclos les plus proches possibles du milieu naturel (chose parfois délicate à faire : problème d’espace, d’écologie, d’environnement social…).
Des études d’enrichissements du milieu sont mises en place avec plus ou moins de réussite, pour faire face à l’ennui et aux comportements dits stéréotypés (répétition à l’infini d’un comportement précis : tourner en rond, suite de geste…).
La santé des animaux est très importante. C’est pourquoi, les animaux sont encouragés à se comporter comme s’ils étaient libres dans la nature. Dans le cas contraire, les animaux sauvages peuvent entrer en dépression ou agir de façon anormale en captivité.
Cette volonté d’améliorer le bien-être des animaux sauvages en captivité n’est toutefois pas facile à mettre en place, du fait du manque de financement pour permettre aux parcs publics une restructuration efficace.
La majorité des zoos français et européens font des efforts dans ce sens et se restructurent peu à peu pour offrir aux animaux des enclos qui se rapprochent le plus possible du milieu naturel de l’espèce.